Fermeture exceptionnelle de la billetterie

du lundi 15 au lundi 22 avril inclus

  • The Island-0649
  • The Island-0684
  • The Island-0672
  • The Island-0686
Mardi 5 Novembre
  • Auditorium, 20h30
  • Tarif B : 15/20€
  • Durée : 1h15
  • De Athol Fugard, John Kani et Winston Ntshona
  • Traduction et adaptation Marie-Hélène Estienne
  • Mise en scène Hassane Kassi Kouyaté
  • Avec Habib Dembélé et Hassane Kassi Kouyaté
  • Assistanat à la mise en scène Peter Tournier
  • Scénographie Sarah Lefèvre
  • Création lumière Cyril Mulon

© Photos : Emmanuel Delaloy

  • « Un bel objet théâtral. »

    L'Humanité
  • « Coup de cœur. (…) Hassane Hassi Kouyaté met en scène et joue magnifiquement avec son complice Habib Dembélé (…) Avec le rire au bord des larmes, les deux héros résistent, la prison ne sera pas aussi dans leurs têtes. »

    Midi Libre
  • « Dès les premières minutes, le spectateur retient son souffle. (…) Dans les cinq petits mètres carrés de la cellule, la force du jeu, des mots et des gestes des comédiens décuple l’imaginaire. »

    La Provence

Dans une cellule de la prison de Robben Island, en Afrique du Sud, où les opposants politiques étaient enfermés à l’époque de l’apartheid, deux hommes, tous les soirs, s’évadent grâce à la force de l’esprit : ils imaginent des conversations téléphoniques avec leur famille, leurs amis, et surtout répètent Antigone, transformant de vieilles cordes en cheveux, des fourchettes rouillées en couronne, et des clous en collier.

Créée par trois Sud-Africains en 1975, The Island  a vite rencontré un succès mondial. Hassane Kassi Kouyaté et Habib Dembélé, comédiens très connus en Afrique de l’Ouest, qui ont parcouru le monde dans des spectacles de Peter Brook, incarnent les rôles principaux. Dans une grande complicité, ils jouent ce texte à la fois drôle et poignant avec sensibilité et justesse, sans jamais tomber dans le misérabilisme, illustrant ce qui, pour Hassane Kassi Kouyaté, est la mission du théâtre : jouer et rire pour survivre, et résister ainsi à l’enfermement, à l’oppression.

© Photos : Emmanuel Delaloy