DANS MA MAISON DE PAPIER - Théâtre de Chelles

Fermeture exceptionnelle de la billetterie

du lundi 15 au lundi 22 avril inclus

Vendredi 3 Décembre Samedi 4 Décembre

DANS MA MAISON DE PAPIER, J’AI DES POÈMES SUR LE FEU

PrécédentSamedi 4 DécembreVisite guidée du Théâtre de Chelles SuivantMardi 7 DécembreMOBY DICK

Grande salle, Ven 3 Décembre 14h30
Grande salle, Sam 4 Décembre 16h
Tarif C : 8/7/10€
Durée : 50min
dès 7 ans

Texte Philippe Dorin
Mise en scène Julien Duval

Avec le soutien de l’ONDA et de l’OARA-Office Artistique de la Région Nouvelle-Aquitaine

Avec France Darry, Carlos Martins, Camille Roubet-Corrège en alternance avec Ana Vieira

Assistant à la mise en scène Carlos Martins

Composition musicale Kat May

Scénographie Olivier Thomas

Lumières Michel Theuil

Costumes Édith Traverso

Création sonore Madame Miniature

Régie générale Anna Tubiana

Seconde assistante Maud Martin

Régisseur Samuel Poumeyrol

Doublure enfants Zoé Gauchet

Production Le Syndicat d’Initiative, Théâtre National de Bordeaux en Aquitaine

Coproduction Office Artistique de la Région Nouvelle-Aquitaine, L’Odyssée scène conventionnée de Périgueux, Le Bateau Feu scène nationale de Dunkerque, La Coupe d’Or scène conventionnée de Rochefort, Théâtre Ducourneau d’Agen

Avec l’aide du Ministère de la Culture (DRAC Nouvelle-Aquitaine), de l’Adami, et de la Ville de Bordeaux (fonds d’aide à la création)

Spectacle répété avec le soutien du Théâtre Paris- Villette et du Théâtre du Cloître scène conventionnée de Bellac

Julien Duval est artiste compagnon au Théâtre National de Bordeaux en Aquitaine

Le Promeneur est habillé par la maison De Fursac.

“Tous les enfants sont à l’intérieur d’une vieille personne, mais ils ne le savent pas encore” Philippe Dorin

Une petite fille joue à s’inventer une maison. Avec la force de l’imagination, quelques bouts de bois et des bouts de papier, elle délimite la porte d’entrée, les pièces, la fenêtre qui donne sur un pré avec des moutons… À son dernier instant, le temps d’une pensée, une vieille dame ramène ses chaussures à la petite fille qu’elle était. Toutes deux entrent dans un dialogue, qui s’interrompt, reprend, au rythme d’une alternance de noir et de lumière. Autour d’elle, rôde le promeneur, la mort, qui chantonne, toujours, mélodie entêtante et menaçante.

Ce texte de Philippe Dorin, mis en scène par Julien Duval, est comme un geste poétique d’une infinie délicatesse qui parle de la fugacité de la vie, de sa beauté surtout.

Spectacle suivi de la Boum des kidz dans le Foyer le samedi 4 décembre